Mattel, la célèbre entreprise de jouets et de jeux, a annoncé début mars le rachat de Mega Blocks – de Mega brands – le concurrent de Lego pour 460 millions d’euros. Oboulo revient sur le succès de la fameuse Barbie de Mattel à travers ses études de cas en ligne.

Un chiffre d’affaires de 404 millions de dollars pour Mega Brands

En rachetant Mega Brands, Mattel se positionne sur un nouveau secteur : celui des jeux de construction, qui, selon NPD, le cabinet d’études de marché, connaît une progression de 13 % l’an dernier. Ce qui représente environ 10 % du chiffre d’affaires issu des ventes de jouets en France. Mega Brands dispose d’un chiffre d’affaires de 404 millions de dollars. L’entreprise Mattel, quant à elle, bien que leader mondial des jouets et jeux, a connu une baisse de son chiffre d’affaires (6,48 milliards de dollars) en 2013 due à un ralentissement des ventes de ses poupées Barbie. En revanche, son bénéfice net a augmenté de 16,4% pour atteindre 904 millions de dollars.

Cela n’aide pas Barbie…

Une récente étude américaine de la chercheuse, Aurora Sherman, parue dans le journal Sex Roles, a démontré que les enfants jouant avec des poupées Barbie estimaient avoir moins de choix de carrière que les garçons. Quelques semaines auparavant, lors de la Toy Fair de New York, le Groupe Mattel a présenté son nouveau modèle : Barbie entrepreneur et son tailleur rose, qui a suscité de nombreuses réactions de l’autre côté de l’Atlantique. Barbie entrepreneur est vue comme une insulte aux femmes qui se sont lancées dans l’entreprenariat par le site Examiner. Entrepreneur.com, quant à lui, lui reproche ses couleurs flashy. Un représentant de la marque explique que Barbie évolue avec son temps et qu’elle peut ainsi encourager les filles à envisager la même carrière. Quel sera le prochain métier de Barbie ? (Le Figaro, L’Express, Canoe)

Oboulo : études de cas marketing sur Barbie

Afin d’approfondir le sujet, le site Oboulo propose dans sa catégorie Marketing, des études de cas sur Barbie (plan marketing, techniques de fidélisation, concurrence, etc.), mais également des analyses sur le Groupe Mattel, HASBRO, LEGO, etc.