Hugo AMSELLEM est un jeune homme de 24 ans qui vit à Paris,plein d’ambition il a pu créer sa propre strat-up. La vie d’Hugo Amsellem sonne comme la vie rêvée de chaque jeune de son age. On y retrouve les déceptions de l’adolescence, le déclic et le personnage du self-made man.Il parle d’ Oocto (link is external), sa plateforme « d’amorçage de projets musicaux », il dit : « quand tu montes une start-up, tu penses à ça tout le temps, et quand, en plus, t’es jeune, les gens pensent que tu te branles ! ».
Son Start up marche à merveille, car elle allie l’esprit participatif de plateformes comme Kickstarter à un accompagnement personnalisé des projets. Tout est bien pensé dans son entreprise et pris en charge : de la plante de l’entrée à la logistique des tournées, en passant par la promotion des artistes.
Hugo a commencé par jouer de la violoncelle et cela ne l’aidé pas pour draguer les filles et du coup il a décidé de commencé à jouer de la guitare.Le Jeune dit :  » Aujourd’hui pour draguer ça marcherait sûrement mieux avec le violoncelle, mais je ne sais plus en faire… »

Malgré ces déceptions, Hugo n’abandonne pas ses ambitions musicales facilement. « J’ai monté quelques groupes en amateur mais je savais très tôt que je n’avais pas le talent nécessaire pour vivre de la musique. »
Hugo a décidé de produire la musique des autres.

Il y a une mentalité différente en Amérique. Il te mettent en réseau sans hésiter, te proposent des rendez-vous. Hugo a même rencontré le fondateur de Deezer à San Fransisco.
Ainsi heureux d’avoir rencontré le fondateur de Deezer Hugo decide de concrétiser son projet en France.

LE MARATHON DE LA START-UP C’est ce grain américain qui explique la vitesse à laquelle il avance. Pas de jour off pour lui, qui gère son corps comme un sportif de haut niveau.
Hugo dit :« Quand t’es entrepreneur, surtout jeune, il faut faire du sport, du sport, et encore du sport. Pour libérer ton énergie, la gérer comme pendant un marathon. Sinon t’exploses ! »

Alors il court. Parce que rien qu’en 2012, Oocto compte déjà une trentaine de projets à réaliser.

Il adopte un style artistique freestyle.Les artistes soutenus par Oocto, sont choisis par rapport à la clarté de leur projet, pas pour leur timbre musical.
Hugo AMSELLEM dit « Il n’y a pas non plus de frontière artistique, je ne cherche pas à donner à Oocto une couleur musicale particulière. Le seul critère, c’est que l’artiste sache où il veut aller, sinon nous on ne peut rien faire. » Et quand Hugo dit aller, ça veut dire courir.