pollution-1

Améliorer l’efficacité énergétique des bâtiments pour l’environnement

pollution-2Au milieu du mois d’avril 2014, les experts de GIEC (Groupe Intergouvernemental d’Experts sur l’évolution du Climat) ont remis un rapport dans lequel ils font l’état des lieux du réchauffement climatique dans le monde et de l’augmentation des émissions de gaz à effet de serre. Le constat est sans appel : il faut réagir rapidement !

Cet article n’a pas pour objectif d’entrer dans les détails du rapport du GIEC (que vous pouvez consulter ici) mais bien de mettre en évidence les principales conclusions de ce rapport ainsi que les solutions qui peuvent être mises en place pour lutter contre ce réchauffement climatique.

Au sein de ce rapport, il y a deux chiffres principaux à retenir : celui de l’augmentation des émissions de gaz à effet de serre (GES) ainsi que les prédictions du réchauffement climatique si on ne fait rien pour changer nos habitudes.

1. Les émissions de gaz à effet de serre

D’après les experts du GIEC, les émissions de GES ne cessent de croître de décennies et décennies. En effet, l’étude démontre que ces émissions ont augmenté de 2,2% par an entre 2000 et 2010 alors que lors des trois décennies précédentes, cette croissance ne se situait qu’à 0,4% en moyenne.

2. Jusqu’à 4,8°C d’augmentation d’ici 2100

Jusqu’à présent, les experts du GIEC indiquent que la planète s’est réchauffée de 0,85°C depuis l’époque pré-industrielle mais à cause de l’augmentation des émissions de GES ces dernières années, il serait possible d’atteindre une augmentation de la température jusqu’à 4,8°C dans le scénario le plus pessimiste.

Dans le rapport du GIEC, les experts ont mis en avant 4 scénarios plus ou moins pessimistes qui font état d’une augmentation de la température entre 0,3°C et 4,8°C !

Les solutions ?

Afin de lutter contre cette augmentation des GES, les experts du GIEC préconisent différentes solutions parmi lesquelles on trouve principalement un changement d’approche dans de nombreux secteurs et principalement celui de l’énergie. Ainsi, on essaiera dans les prochaines années d’utiliser principalement les énergies peu carbonées mais il faudra aussi investir dans l’efficacité énergétique des bâtiments en allant de plus en plus vers des constructions zéro énergie ou encore en développant des techniques de captage et de stockage de CO2.

Laisser un commentaire

Ce site utilise Akismet pour réduire les indésirables. En savoir plus sur comment les données de vos commentaires sont utilisées.